Il est fortement recommandé de ne pas bricoler une solution maison en pensant faire des économies !!
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Nous rappelons par exemple que:
- Les conduits TPC (gaines électriques), PVC ne permettent pas d’assurer un air de qualité dans votre logement. Ils contiennent des composants recyclés issue de l’industrie du pétrole et des dégagement nocif peuvent en résulter. PVC = Dégagement de chlore!
- Les regards en béton avec évacuation des condensats sur lit de cailloux ne garantissent pas une étanchéité suffisante. Il est courant d’observer des puits canadien inondés lors d’une pluie. Les infiltrations parasites doivent être absolument empêchés. Une étanchéité IP68 résistant à l’immersion est obligatoire.
- Les conduits en grès vitrifié posent également un problème d’étanchéité au niveau des raccords EPDM. Il suffit qu’un cailloux se glisse au niveau du joint lors du montage pour que l’étanchéité soit affectée.
La rentabilité d’un puits canadien dépend de plusieurs facteurs, notamment le coût initial d’installation, les économies d’énergie réalisées à long terme, et les incitations fiscales inexistantes en 2025.
1. Coût d’installation :
- Un puits canadien représente un investissement initial qui peut varier entre 6 000 et 12 000 € en fonction de la taille de l’installation, des travaux nécessaires pour l’installation (tranchée, forages, etc.), et des matériaux utilisés.
2. Économies d’énergie :
- Un puits canadien permet de réduire la consommation d’énergie pour le chauffage et la climatisation, car il utilise la température stable du sol pour réguler la température intérieure.
- En moyenne, on peut réaliser des économies de 30 à 50 % sur les dépenses énergétiques pour le chauffage et la climatisation. Cela dépend aussi de la région, de l’efficacité de l’installation, et de l’isolation de la maison.
3. Retour sur investissement (ROI) :
- Le retour sur investissement peut prendre entre 5 et 10 ans, selon les économies réalisées chaque année. Au-delà de cette période, le système est généralement rentable, puisque les coûts de fonctionnement sont faibles après l’installation (les principaux frais étant ceux de l’entretien, généralement très limités).
4. Durée de vie :
- Les puits canadiens peuvent durer entre 20 et 30 ans si le système est bien entretenu. Cela permet de maximiser la rentabilité sur le long terme.
Conclusion :
Le puits canadien est un investissement rentable à moyen et long terme, particulièrement dans les régions avec des hivers froids ou des étés chauds, où la demande en chauffage et en climatisation est importante. Son efficacité est optimale dans des maisons bien isolées, et le coût d’installation initial peut être amorti grâce aux économies d’énergie réalisées sur plusieurs années.
Si vous êtes intéressé par une installation, il peut être judicieux de faire réaliser un audit énergétique pour évaluer les avantages spécifiques pour votre situation.

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